C'était au lycée, avec deux copines, derrière un buisson de la cour de récré.
Le goût m'a dégoutée, pas elles apparemment...
Vous souvenez-vous de votre première cigarette ?
C'était au lycée, avec deux copines, derrière un buisson de la cour de récré.
Le goût m'a dégoutée, pas elles apparemment...
Vous souvenez-vous de votre première cigarette ?
"Je me souviens d'un film qui m'a particulièrement marquée au point d'en faire des cauchemars. C'était l'expérience interdite avec Kieffer Sutterland entre autres.
Ce n'est pas particulièrement leurs jeux avec la mort qui m'a le plus angoissé mais plutôt l'atmosphère qui se dégageait du film, une sorte de malaise glauque.
Et puis une scène du film est tournée dans les bois, que j'associe depuis petite à un endroit où on peut se perdre et se sentir seul et abandonné. Cette scène a réveillé ce sentiment d'angoisse. Je ne suis donc pas prête de le revoir. "
Y'a t-il un film qui vous ai particulièrement marqué ?
"Mon premier journal intime... j'avais 9 ans, c'était ma grand mère qui me l'avais acheté en 2000. J'écrivais tout dedans, mais un jour mon père a trouvé la clé ! Il a lu mon journal : j'avais trop la honte ! Alors j'ai arraché toutes les pages ! Depuis je ne parle plus de mes histoires de coeur avec mes parents !"
Votre journal intime a t-il déjà été lu par quelqu'un d'autre que vous ? ou avez-vous déjà lu le journal intime de quelqu'un ?
Je me souviens m'être rendue sur mon lieu de travail un dimanche, accompagnée de mon ami, pour assister à un spectacle musical que mon employeur m'avait demandé d'organiser. Je suis arrivée 5 minutes avant le début, je suis restée pour le goûter pour discuter avec l'artiste et pour reccueillir les impressions du public (toutes excellentes d'ailleurs), puis nous sommes reparti.
Quelques jours plus tard, mon employeur m'a reproché de ne pas être venue en avance pour les derniers préparatifs, de n'avoir pas aidé au service du goûter, de n'avoir pas aidé au stand du marché de Noël, et de ne pas être restée pour aider à ranger. Bref, de n'y avoir pas passé mon dimanche !
Il rajoute que normalement ce n'est pas dans l'attribution de mes collègues de s'occuper de tout ça (précisons quand même que, contrairement à elles, je ne bosse pas le week end) et il tente de me faire culpabiliser en me disant qu'il y a même une de mes collègues qui est venu aider alors que c'était son jour de congé !!!
Là dessus je lui réponds que j'avais clairement dit que je venais en spectatrice, qu'en plus j'étais accompagnée. S'il tenait tant que ça à me voir venir pour tout ça, il n'avait qu'à me le demander. Et là, tout ce qu'il trouve à me répondre c'est : "bah oui mais si je vous l'avais demandé vous l'auriez compté dans vos heures !?! "
C'est pas beau ça ?
Avez-vous déjà subi des pressions de la part de votre employeur ?
"Je me souviens d'un professeur de lycée qui s'efforçait d'apprendre la physique à la terminale (ou la première ?) littéraire que nous étions. [...] il était d'origine maghrébine avec un accent très prononcé. Et donc un jour le voilà qui se lance dans le commentaire d'une expérience de physique. Dans le feu de l'explication, il nous annonce que le résultat de l'expérience est due à l'action des "électrons mésanges".
Nous on note, mais quand même, même pour nos cervelles de littéraires, ça sonne bizarre. On lui demande de répéter. Il nous reparle donc de l'action des "électrons mésanges".
On se remet à prendre des notes, mais clairement, le train de la réflexion de 35 élèves était en train de dérailler complètement. Une camarade plus téméraire lui demande de répéter à nouveau. Et à nouveau, mais quand même ça commence à l'agacer, le voilà qui nous réexplique l'action des "électrons mésanges".
Une minute plus tard, la tête farcie d'électrons qui font cui-cui, en y tient plus : on lui demande de bien vouloir nous écrire ce terme au tableau, histoire d'en avoir le coeur net : c'était les électrons mis en jeu dans l'expérience (mis en jeu = mésange). Le soupir collectif de compréhension et de soulagement qui s'est échappé de nos 35 poumons a dû finir de convaincre Mr Mirou qu'on lui avait confié des débiles légers."
Vous souvenez-vous d'avoir discuté avec quelqu'un à fort accent en butant sur chacun de se mots ?
Cétait pendant des vacances dans le Vercors avec ma mère et mon frère, on faisait une randonnée à pieds empruntant un chemin sous les bois... Il avait plu peu de temps avant et les escargots étaient sorti, il y en avait vraiment plein !
Nous avons commencé à en ramasser jusqu'à en avoir un plein sac.
Comme nous campions sous tente igloo à Lans en Vercors, nous n'avions pas vraiment prévu d'aller à la chasse aux escargots et donc nous n'avions rien pour les stocker jusqu'à notre départ le lendemain matin. Le mieux que nous ayons trouvé au Supermarché du coin, se sont des moules en alu avec un couvercle en carton.
Nous avons fait des trous dans le couvercle en carton pour les aérer et laissé les boîtes à l'entrée de notre tente pendant la nuit.
Le lendemain matin, sortant la tête encore mal réveillé et fourbu par cette nuit sur un matelas trop fin, nous sommes tombés nez à... antenne avec nos fameux gluants, la tente était couverte d'escargots !!!
Evidemment, l'humidité de la nuit et la rosée matinale avaient fini par détremper le couvercle en carton qui s'était peu à peu afaissé sous le poid des gastéropodes randonneurs !
Rien que d'y repenser, ça me fait encore rire...
Avez-vous déjà fait une rencontre innatendue en sortant de chez vous ?
Si le dessin et la peinture vous intéressent, n'hésitez pas à visiter mon blog Mes créations.